maison d’écritures et d’éditions

Panier ()

voir les articles

Panier

Votre panier est vide.

Catalogue

Atelier d’écriture

La maison

Boutique Penseries

Banc(s)

Sylvain Dieuaide

Banc(s)
  • 2025
  • Dimensions 8 x 12 cm
  • Impression numérique NB sur Platine Fibre Infinity Canson 310g
  • Tirages numérotés de 1 à 5 et signés au dos
50€

SYLVAIN DIEUAIDE

Pour l’état civil, ce comédien scénariste réalisateur s’appelle Sylvain Dieuaide. Il ne tient pas en place dans ce cadre, il est mouvement incessant de foule. Depuis toujours, il entend la voix du poète, son oblige-toi à tournoyer, si intensément qu’elle est devenue ligne d’existences. Comment tourner le monde et le faire tourner ? Par densités d’un trajet de comédien formé à l’école Florent, qui n’a de cesse de se déplacer d’un rôle à l’autre, de Je Rien Te Deum (Fabrice Melquiot) à J’attends quelqu’un (Jérôme Bonnell), de Strindberg à Musset, de Tchekhov à Strauss, par goût du cadre d’écriture et de l’angle cinématographique (ses courts-métra(n)ges, Guillaume à la dérive et Conversation avec un épouvantail), par accompagnements artistiques (entre autres, La petite sirène et La Dame de la mer). En une vie ainsi "comme un cinéma éclaté et monté" où le théâtre provoque la grande échappée, la photographie le retour du temps, et dont les entrelacs sont les gammes d’une même musique, celle du silence clandestin dans le langage.

Il y a des horaires où les squares sont déserts, morts, et on peut retrouver cette pesanteur présente dans les films d’apocalypse autour de la question : mais où sont les gens ? Ces bancs ont vécu, ils sont là, ils ont été créés pour avoir une utilité. À cet instant, ils ont besoin de revivre. De rencontrer quelqu’un. Revivre appartient à chacun, comme un possible. Et cela n’oblige pas forcément à mourir.

CAISSE DE RÉSONANCE

ENTRETIEN AVEC SYLVAIN DIEUAIDE Première partie : Jouer à hauteur

nouvelles de L’éperdu

lettre d’information

Inscription à la lettre d’information